Auteur de la tuerie de "Charlie Hebdo", abattu par les forces de l’ordre à Dammartin-en-Goële. Condamné et incarcéré en 2008 pour avoir participé à une filière d'envoi de jihadistes en Irak.
Dans une vidéo, Al-Qaïda au Yémen (Al-Qaïda dans la péninsule arabique ou Aqpa) a revendiqué mercredi 14 janvier l’attaque contre "Charlie Hebdo".
Le frère de Mehdi a purgé une peine de deux ans de prison, dont un avec sursis, à l'issue du procès de la filière d’acheminement de combattants à destination de la zone pakistano-afghane. Il est également connu pour avoir mis sur Internet des films de propagande jihadiste. La police le soupçonne d’être en Syrie.
Les forces de l’ordre ont retrouvé les clés d’un deux-roues dans la "planque" d’Amedy Coulibaly à Gentilly (Hauts-de-Seine). Le propriétaire a été identifié, mais son identité n’a pas été révélée.
La police recherche la personne ayant mis en ligne la vidéo dans laquelle Amedy Coulibaly évoque ses attaques. Sa publication sur les réseaux sociaux deux jours après sa mort laisse penser que le tueur de Montrouge et de la porte de Vincennes avait un complice. Les soupçons se portent sur Mohamed Belhoucine.
La police recherche depuis la fin des attentats la voiture d’Hayat Boumeddiene, une Mini Cooper. Un homme aurait été vu au volant du véhicule dont l’immatriculation n’a pas été révélée.
Cet habitant de Charleroi, en Belgique, est soupçonné d’avoir livré à Amedy Coulibaly les armes ayant servi aux attaques contre "Charlie Hebdo" et contre la supérette de la porte de Vincennes. Nettin Karasular aurait reçu une voiture et de l’argent en échange de ces armes. Le véhicule en question serait-il la Mini Cooper d’Hayat Boumeddiene ?
Auteur de la tuerie de "Charlie Hebdo", abattu par les forces de l’ordre à Dammartin-en-Goële. On sait peu de chose de lui hormis qu’il s’est rendu au Yémen en 2011 pour y suivre un entraînement militaire.
C’est la veuve de Chérif Kouachi. Elle est aujourd’hui libre après avoir passé 3 jours en garde à vue. Le parquet de Paris a révélé qu’environ 500 appels ont été passés entre son téléphone et celui d’Hayat Boumeddiene en 2014.
La compagne d’Amedy Coulibaly reste introuvable. A-t-elle joué un rôle dans les attentats ? La jeune femme a été filmée le 2 janvier à Istanbul en compagnie de Mehdi Belhoucine. Les autorités turques et françaises la soupçonnent d’être actuellement sur le sol syrien.
Celui qui a été filmé avec Hayat Boumeddiene à Istanbul a été cité dans le procès, en juillet 2014, d’une filière d’acheminement de combattants à destination de la zone pakistano-afghane.
Signalé par un mandat d’arrêt européen, il a été arrêté le 1er janvier par les autorités bulgares alors qu’il s’apprêtait à entrer en Turquie. Alors qu’il est soupçonné par les autorités françaises d'avoir été en contact avec l'un des frères Kouachi, Sofia l’a extradé jeudi 29 janvier vers la France, où il a été mis en examen pour "association de malfaiteurs en vue de préparation d’actes terroristes".
À l’époque de son arrestation, Fritz-Joly Joachin était en compagnie de sa compagne turque, Imané Chanaa. Le frère de cette dernière, Younès Chanaa, est actuellement détenu pour sa participation supposée à un réseau de recrutement de jihadistes européens pour le compte de l’organisation de l'État islamique.
Ancien membre du GIA algérien condamné à la prison à perpétuité pour sa participation à la vague d'attentats de 1995, à Paris. Chérif Kouachi, Amedy Coulibaly et Djamel Beghal avaient fomenté un plan en 2010 pour le faire évader.
Le preneur d'otages de la porte de Vincennes et l’auteur de la fusillade de Montrouge a été abattu par les forces de l’ordre, à Paris. Délinquant multirécidiviste, dont la première condamnation remonte à 2001, il se serait radicalisé au contact de Chérif Kouachi et Djamel Beghal, détenus comme lui à la prison de Fleury-Mérogis.
Figure de l’islamisme radical, actuellement emprisonné, il a influencé Chérif Kouachi et Amedy Coulibaly. C'est en 2005, à la prison de Fleury-Mérogis que le trio se rencontre. Ils ont en commun une vision rigoriste de l'islam.
Amedy Coulibaly s’était réclamé de l’organisation de l’État islamique (EI). S’il s’est "félicité" de l’attentat contre "Charlie hebdo", l’EI n’a cependant pas revendiqué les attaques de Montrouge et de la porte de Vincennes.
C’est le beau-frère de Chérif Kouachi. Âgé de 18 ans, il avait été accusé à tort d’être le "3e homme" de l’attaque contre "Charlie Hebdo". Il était au lycée au moment des faits. Sa garde à vue a été levée vendredi 9 janvier.
La description de l’homme qui a tiré cinq fois sur un joggeur à Fontenay-aux-Roses, mercredi 7 janvier, ne correspond pas à celle d’Amedy Coulibaly. Pourtant l’arme utilisée lors de cette attaque serait la même que celle utilisée par l’auteur des meurtres de la porte de Vincennes. La police soupçonne ce mystérieux tireur d’être le propriétaire des clefs retrouvées chez Coulibaly.
Mis en examen le 21 janvier pour association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes. A déjà été condamné pour faits de délinquance.
Il était présent lors de l’achat, pour le compte de Coulibaly, de la Renault Mégane retrouvée à proximité du lieu de la prise d’otages de la porte de Vincennes. La copie d’une pièce d’identité au nom de sa mère a été retrouvée dans la voiture.
Avec deux des autres mis en examen, il se serait également procuré auprès d’armuriers de Paris et sa région des gaz lacrymogènes, couteaux et gilet à poches correspondant à ceux retrouvés en possession de Coulibaly après la prise d’otages.
Mis en examen le 21 janvier pour association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes. A déjà été condamné pour faits de délinquance.
Il était présent lors de l’achat de la Renault Mégane vraisemblablement utilisée par Coulibaly pour se rendre sur le lieu de la prise d’otages de la porte de Vincennes.
Avec deux des autres mis en examen, il se serait également procuré auprès d’armuriers de Paris et sa région des gaz lacrymogènes, couteaux et gilet à poches correspondant à ceux retrouvés en possession de Coulibaly après la prise d’otages. Il aurait stocké chez lui une partie de l’arsenal pour le compte de Coulibaly jusqu’au 1er janvier 2015.
Mis en examen le 21 janvier pour association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes. Pas d’antécédent judiciaire.
Il était présent lors de l’achat, pour le compte de Coulibaly, de la Renault Mégane retrouvée à proximité du lieu de la prise d’otages de la porte de Vincennes.
Avec deux des autres mis en examen, il se serait également procuré auprès d’armuriers de Paris et sa région des gaz lacrymogènes, couteaux et gilet à poches correspondant à ceux retrouvés en possession de Coulibaly à la suite de la prise d’otages.
Mis en examen le 21 janvier pour association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes. A rencontré Coulibaly lors de son dernier séjour en prison (2011- 2013) pour trafic de stupéfiants.
Son ADN a été identifié sur des armes retrouvées dans le dernier logement connu de Coulibaly à Gentilly et sur un gant utilisé par Coulibaly lors de la prise d’otages dans l’Hyper Cacher.
Il a eu de multiples contacts téléphoniques avec Coulibaly dans les quatre mois précédant les attentats et se trouvait en sa compagnie à Grigny l’avant-veille de l’attaque contre "Charlie Hebdo", le 7 janvier.
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