20 mars 2003 : Premier jour de l’invasion en Irak. Quelque 100 000 soldats américains et britanniques entrent dans le pays, principalement par la frontière sud, et affrontent l'armée régulière irakienne qui incendie plusieurs gisements de pétrole pour enfumer le ciel et ainsi empêcher les attaques aériennes.
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4 avril 2003 : Un membre de la Garde républicaine irakienne monte la garde dans la périphérie de Bagdad. Cette troupe d’élite de l’armée irakienne est tombée en déliquescence après la guerre du Golfe de 1991.
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9 avril 2003 : Quelques soldats américains viennent en aide à des Irakiens qui tentent de renverser l’imposante statue de Saddam Hussein trônant sur la place al-Firdos de Bagdad. Symbole de la chute du dictateur irakien après seulement 21 jours de combats, l’image est entrée dans l’Histoire.
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1er mai 2003 : Arborant fièrement l’uniforme de pilote, le président américain George W. Bush annonce la fin des combats devant des membres de l’équipage du porte-avion américain « USS Abraham Lincoln ».
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13 décembre 2003 : Saddam Hussein est retrouvé vivant à Tikrit, sa ville natale, dans un petit bunker où il s’était réfugié depuis la chute de Bagdad. Après la mort de ses fils le 23 juillet à Mossoul, sa capture met un point final à la chute du régime du raïs irakien.
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28 Avril 2004 : Une série de photographies prises par des soldats américains, diffusées dans les médias, provoque une vague d’indignation. Elles montrent des prisonniers torturés, posant nu, victimes d’abus sexuels dans le centre pénitentiaire d’Abou Ghraib à Bagdad.
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9 mai 2004: Des tanks américains arrivent en renfort dans le district chiite de Bagdad, Sadr City, après de violents combats qui ont coûté la mort à huit GI’s.
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décembre 2004: Un soldat américain tombe sous les tirs d’un insurgé à Falloujah, un bastion rebelle à l’ouest de Bagdad, alors qu’il est en train de mettre à l’abri un soldat blessé.
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25 janvier 2005 : Des soldats britanniques patrouillent dans la ville de Bassorah, située au sud de Bagdad, à cinq jours des premières élections libres dans l’histoire du pays. Malgré les attentats des groupes extrémistes sunnites, le 30 janvier, la participation, forte de 59 %, est plus importante que prévu.
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6 décembre 2005 : “Je n’ai pas peur de la mort”, lance l’ancien président irakien Saddam Hussein au président du tribunal lors de son procès, qui se tient sous haute sécurité dans la zone verte de Bagdad. Condamné à mort par pendaison, il est exécuté le 30 décembre 2006.
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