La compagne d’Amedy Coulibaly se trouve actuellement sur le sol syrien. Les dernières images d’elle remontent au 2 janvier lorsqu’elle a été filmée à Istanbul après son départ de France via l'aéroport de Madrid en compagnie de Mehdi et de son grand frère Mohammed Belhoucine . On sait aujourd’hui que c'est Coulibaly lui-même qui l'avait conduite en Espagne à bord d’une Seat Ibiza noire de location. Elle n’a depuis donné aucun signe de vie direct à ses proches. et on ignore encore si elle était impliquée dans les préparatifs des attentats.
Le 12 février, elle refait surface dans un magazine de propagande jihadiste dans lequel elle a été interviewée. Elle y revient, entre autres, sur la détermination d’Amedy Coulibaly, dont le "cœur brûlait d’envie de rejoindre ses frères et de combattre les ennemis d’Allah (…)".
La compagne d’Amedy Coulibaly se trouve actuellement sur le sol syrien. Les dernières images d’elle remontent au 2 janvier lorsqu’elle a été filmée à Istanbul en compagnie de Mehdi Belhoucine. Hayat Boumeddiene a embarqué avec Mehdi et son grand frère Mohammed Belhoucine à l’aéroport de Madrid, direction la Turquie. On sait aujourd’hui que la jeune femme a été conduite directement en Espagne par son compagnon Amedy Coulibaly, à bord d’une Seat Ibiza noire de location. Elle n’a donné aucun signe de vie direct à ses proches après sa fuite, hors du territoire français. A-t-elle participé aux préparatifs des attentats ? On ne sait encore rien de son rôle concret lors des attaques.
Le 12 février, elle refait surface dans un magazine de propagande jihadiste dans lequel elle a été interviewée. Elle revenait, entre autres, sur la détermination d’Amedy Coulibaly, dont le "cœur brûlait d’envie de rejoindre ses frères et de combattre les ennemis d’Allah (…)".
La police recherche depuis la fin des attentats la voiture d’Hayat Boumeddiene, une Mini Cooper. Un homme aurait été vu au volant du véhicule dont l’immatriculation n’a pas été révélée.
Cet habitant de Charleroi, en Belgique, est soupçonné d’avoir procuré à Amedy Coulibaly des armes ayant servi aux attaques contre "Charlie Hebdo" et contre la supérette de la porte de Vincennes. Nettin Karasular aurait reçu une voiture et de l’argent en échange de ces armes. Le véhicule en question pourrait être la Mini Cooper d’Hayat Boumeddiene. D'après les enquêteurs, la voiture a ensuite été revendue à un autre homme qui l'a fait acheminer en Grèce.
Le preneur d'otages de la porte de Vincennes également auteur de la fusillade de Montrouge a été abattu par les forces de l’ordre, à Paris. Délinquant multirécidiviste, dont la première condamnation remonte à 2001, il se serait radicalisé au contact de Chérif Kouachi et Djamel Beghal, détenus comme lui à la prison de Fleury-Mérogis.
La description de l’homme qui a tiré cinq fois sur un joggeur à Fontenay-aux-Roses, mercredi 7 janvier, ne correspond pas à celle d’Amedy Coulibaly. Pourtant l’arme utilisée lors de cette attaque serait la même que celle utilisée par l’auteur des meurtres de la porte de Vincennes. Qui est le mystérieux tireur ?
Mis en examen le 21 janvier pour "association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes". A déjà été condamné pour faits de délinquance.
Il était présent lors de l’achat, pour le compte de Coulibaly, de la Renault Mégane retrouvée à proximité du lieu de la prise d’otages de la porte de Vincennes. La copie d’une pièce d’identité au nom de sa mère a été retrouvée dans la voiture.
Avec deux des autres mis en examen, il se serait également procuré auprès d’armuriers de Paris et sa région des gaz lacrymogènes, couteaux et gilet à poches correspondant à ceux retrouvés en possession de Coulibaly après la prise d’otages.
Mis en examen le 21 janvier pour "association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes". A déjà été condamné pour faits de délinquance.
Il était présent lors de l’achat de la Renault Mégane vraisemblablement utilisée par Coulibaly pour se rendre sur le lieu de la prise d’otages de la porte de Vincennes.
Avec deux des autres mis en examen, il se serait également procuré auprès d’armuriers de Paris et sa région des gaz lacrymogènes, couteaux et gilet à poches correspondant à ceux retrouvés en possession de Coulibaly après la prise d’otages. Il aurait stocké chez lui une partie de l’arsenal pour le compte de Coulibaly jusqu’au 1er janvier 2015.
Mis en examen le 21 janvier pour "association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes". Pas d’antécédent judiciaire.
Il était présent lors de l’achat, pour le compte de Coulibaly, de la Renault Mégane retrouvée à proximité du lieu de la prise d’otages de la porte de Vincennes.
Avec deux des autres mis en examen, il se serait également procuré auprès d’armuriers de Paris et sa région des gaz lacrymogènes, couteaux et gilet à poches correspondant à ceux retrouvés en possession de Coulibaly à la suite de la prise d’otages.
Mis en examen le 21 janvier pour "association de malfaiteurs en vue de commettre des crimes d’atteinte aux personnes". A rencontré Coulibaly lors de son dernier séjour en prison (2011- 2013) pour trafic de stupéfiants.
Son ADN a été identifié sur des armes retrouvées dans le dernier logement connu de Coulibaly à Gentilly et sur un gant utilisé par Coulibaly lors de la prise d’otages de l’Hyper Cacher.
Il a eu de multiples contacts téléphoniques avec Coulibaly dans les quatre mois précédant les attentats et se trouvait en sa compagnie à Grigny l’avant-veille de l’attaque contre "Charlie Hebdo", le 7 janvier.
Un suspect de 29 ans, originaire de Grigny dans l’Essonne a été mis en examen le 28 mars pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste". Selon les autorités, il aurait servi d'intermédiaire entre Coulibaly et Neetin Karasular, cet habitant de Charleroi, en Belgique, dans la vente d'une Mini Cooper immatriculée au nom d'Hayat Boumedienne. Nettin aurait reçu la fameuse voiture et de l’argent en échange d’armes ayant servi aux attaques contre "Charlie Hebdo" et l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes.
Il est arrêté et mis en examen le 13 mars 2015 pour "participation à une association de malfaiteurs terroristes en vue de commettre des crimes contre les personnes". Il aurait connu Amedy Coulibaly à la prison de Villepinte (Seine-Saint-Denis) en 2010. Entre septembre 2014 et janvier 2015, Amar R. et Amedy Coulibaly auraient échangé près de 600 SMS. Ils se seraient rencontrés des dizaines de fois, y compris la veille de l’assaut meurtrier des frères Kouachi contre "Charlie Hebdo". Âgé de 33 ans, il a déjà 5 condamnations à son actif pour faits de vol et de séquestration.
Selon le "Canard enchaîné", le téléphone portable d’Amar a été "borné" près de l’Hypermarché Cacher le jour de l’attaque, et près du lieu où le joggeur de Fontenay a été touché par balles, mercredi 7 janvier. Amar pourrait-il être le mystérieux tireur de Fontenay ? Un rapprochement que le parquet n’a pas confirmé et que l’avocat d’Amar nie formellement : "Mon client dit être juste un compagnon d'infortune d'Amedy Coulibaly qu'il a connu en prison. Il nie farouchement être lié de près ou de loin aux attentats", a-t-il déclaré.
Le "Canard enchaîné" a également révélé début février que la compagne d’Amar était sous-officier chargée du renseignement opérationnel dans la gendarmerie. La jeune femme de 34 ans a été suspendue de ses fonctions.
Il est arrêté et mis en examen le 13 mars 2015 pour "participation à une association de malfaiteurs terroristes en vue de commettre des crimes contre les personnes". Âgé de 25 ans, il est présenté comme une "vieille connaissance" d’Amedy Coulibaly. Il a déjà été condamné à quatre reprises pour des faits de violence et pour vol aggravé.
Son ADN a été retrouvé sur la lanière d’un taser retrouvé dans l’Hyper Cacher. Saïd a détruit sa puce de portable le jour même de la mort de Coulibaly le 9 janvier. La police cherche à savoir s’il a pu jouer un rôle dans les attentats.